Quand l’Inspection du travail fait une descente sur le tournage d’une série télé en Belgique

La Libre

Après le confinement, les tournages reprennent dans un contexte tendu. Plusieurs sources font état d’avenants aux contrats imposés sur certains tournages.

Cela n'arrive pas tous les jours que la presse quotidienne belge s'intéresse aux problématiques de notre secteur.

En ce sens, la pandémie Covid-19 aura au moins servi de sonnette d’alarme.

mediarte continuera à vous le dire (et à vous expliquer pourquoi) : Travailler sans respecter les dispositions légales (y compris en matière de contrats), en trouvant parfois le moyen de les contourner à l'avantage d'une seule partie, ne bénéficie à personne. Ni aux entreprises, ni à ceux qu’elles emploient.

Notre secteur est habitué à une (très) grande flexibilité. Cette flexibilité est nécessaire, utile, et elle a été négociée, depuis longtemps, par les partenaires sociaux. Ses limites sont - la plupart du temps - comprises et appliquées par les entreprises et leurs employés. Les deux parties ont encadré cette flexibilité par des conventions collectives de travail (CCT). 

Ce dont notre secteur a besoin pour fonctionner correctement - avec ou sans virus - tant du côté de ses travailleurs que de ses employeurs, c'est du respect de ces règles établies en concertation.

Il arrive, comme vient de le souligner le quotidien La Libre Belgique qui a questionné mediarte à ce propos, que des écarts aux règles surviennent. 

Coronavirus ou pas, ces écarts peuvent avoir des conséquences graves, mediarte et La Libre Belgique vous le rappellent justement aujourd'hui.

Notre formulaire Point de contact permet à chacun de nous signaler d’éventuelles irrégularités.

Le fonds social du secteur audiovisuel et cinéma belge confirme qu’il existe des cas litigieux.

mediarte

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